Les élèves d’une classe de collège eurent un jour à passer un examen qui est resté dans la mémoire de plusieurs, même bien des années après. Cette classe n’avait rien d’exceptionnel, si ce n’est que lors des examens, la triche était quasi généralisée, au grand désespoir des enseignants. Comment faire pour remédier à cette si mauvaise habitude?

Un professeur eut un jour une idée propre à marquer l’esprit de ses élèves. Avant une interrogation, il leur fit un petit préambule en leur disant ceci:

«Aujourd’hui mes amis, je vous fais passer deux examens, le premier, de géométrie, le second d’honnêteté. J’espère que vous réussirez les deux. Si vous échouez à l’un, que ce soit plutôt à celui de géométrie. Vous aurez plus d’occasions dans votre carrière d’appliquer les principes d’honnêteté que d’utiliser les théorèmes de géométrie».

La réflexion du professeur influa-t-elle sur le comportement des élèves?

Nous ne le savons, toujours est-il qu’elle mérite que l’on s’y arrête.

En effet, elle soulignait deux manières de considérer la vie. L’une, bassement matérialiste, n’envisage que le but poursuivi. L’autre voit les valeurs comme supérieures au but. De ces deux possibilités, découlent deux modes de vie, deux conceptions de l’existence.

Beaucoup d’hommes et de femmes prônent de grands principes et sont enclins à prendre de bonnes résolutions. Mais combien prennent les moyens pour que ces «belles pensées» influencent  leurs choix et leur vie?

La Bible apporte une réponse à cette difficile mise en pratique. Elle  nous apprend que Dieu est venu à notre rencontre, à travers le don de son Fils Jésus, le Christ, afin de nous délivrer de nos penchants, de nos habitudes hypothéquantes, de nos dépendances.

Jésus, le Christ, apporte à ceux qui le lui demandent dans la repentance et la foi, outre  le pardon et l’assurance du salut éternel, la force de mener une vie utile, source de paix et de joie pour ceux qui les entourent.

Car «Que servirait-il à un homme de gagner le monde entier s’il perd son âme?» (La Bible).

F.K.